vendredi 29 janvier 2010

gardez vos vieux tacots...ou sortez votre vélo

On s'en doutait déjà, mais la prime écolo pour l'envoi à la casse des vieilles voitures gourmandes est une vaste fumisterie ... du point de vue écologique.
Petite démonstration rapide mais efficace dans ce bref article chez Fakir :
http://www.fakirpresse.info/articles/327/la-prime-a-la-casse-ecologique.html

vendredi 15 janvier 2010

communiqué de l'union locale de la fédération anarchiste rennaise

Mouvement des chômeurs, chômeuses et précaires - Communiqué de l'Union Locale de la FA Rennes
Communiqué de l'Union Locale de la FA Rennes

Le 5 décembre dernier, une manifestation de chômeurs et précaires en
lutte, annoncée à Rennes depuis plusieurs semaines, a été interdite par
la préfecture. Les manifestant-e-s ont toutefois décidé de défiler, se
heurtant systématiquement à des barrages de CRS et aux provocations
policières. Alors qu'une assemblée générale devait se tenir à la Maison
des Associations du Champ de Mars à l'issue de la manifestation, la
responsable des lieux en a interdit l'accès, suite à une décision de la
mairie. Les manifestant-e-s sont alors tombé-e-s dans un guet-apens, la
BAC en profitant pour procéder à un véritable lynchage, avec l'appui
des CRS, arrêtant des manifestants et en frappant violemment d'autres.
Une des victimes de ces violences policières a subi un traumatisme
cérébral, causant des séquelles irréparables.

4 manifestants interpellés passeront en procès pour « violence sur
agent » le 18 janvier, les policiers plaignants n'hésitant pas a
utiliser des faux témoignages afin de légitimer leur barbarie et faire
croire que la violence venait des inculpés.

A Rennes comme ailleurs les travailleurs, chômeurs, sans-papiers,
précaires… sont soumis à l’exploitation capitaliste et à la répression
Etatique. En soutien à toutes ces luttes émancipatrices en général et à
ces 4 manifestants inculpés en particulier, l'Union Locale de Rennes de
la Fédération Anarchiste appelle à :

- Manifester le samedi 16 janvier, à 15h place de la Mairie, avec
les travailleurs, chômeurs et précaires contre la répression et pour
des revendications de progrès social

- Se rendre le lundi 18 janvier, à 15h à la cité judiciaire, pour soutenir les 4 inculpés qui passent en procès

Union Locale Fédération Anarchiste de Rennes
groupe La Sociale www.farennes.org
groupe La Digne Rage www.anartoka.com/la-digne-rage

mardi 12 janvier 2010

nom d'un chien ! des gens qui pensent ! on n'avait plus l'habitude ! Encore un peu de prose des chômeurs rennais

A quand la grève des chômeurs ?


Un spectre hante le pouvoir sarkozyste: celui d'un mouvement de chômeurs.

Entendons nous bien: un mouvement de chômeurs, c'est un mouvement de mauvais chômeurs. Le "bon" chômeur n'est plus un « chômeur », c'est un demandeur d'emploi (D.E.), "public-cible" du Pôle du même nom. Il ne tient pas à se faire remarquer, hormis, bien sûr, par un employeur. Le "demandeur d'emploi" se construit à l'envers de l'image repoussoir du mauvais chômeur, ce glandeur qui mène une vie de pacha avec ses 454 euros par mois, et qui ne se sent pas redevable à la société qui lui concède, d'ailleurs temporairement et sous conditions, le droit de survivre, là où les loyers sont encore accesssibles. Le "demandeur d'emploi" modèle travaille donc, sans cesse: il refait cent fois son CV, il envoie des milliers de lettres de motivation, il "enquête" pour mieux "cibler" les "gisements d'emplois", il accepte de bonne grâce les ateliers CV, les simulations d'entretien, les bilans de compétences, les stages gratuits, les Evaluations en Milieu de Travail (70 h de travail bénévole), il en redemande. Il apprend grâce aux ateliers de "coaching" qu'un ami est un partenaire, que rencontrer quelqu'un se dit tisser un réseau, qu'un savoir-faire est une compétence, et que ce qui fait la dignité d'un être c'est la valeur et le potentiel d'expansion de son capital-compétences. Bref, il travaille à son employabilité; il travaille à devenir l'employé idéal, l'exploité qui n'a pas d'autre exploiteur que lui-même, et se charge de remettre au pas l'indolent, le récalcitrant, le chômeur qui sommeille en lui. Un employé idéal, c'est à dire un auto-entrepreneur, un homme économique intégral.

Bien sûr, comme avec tout modèle, il y en a qui feront semblant : les uns qui joueront à incarner ce rôle, pour renvoyer incessamment à leurs subordonnés à quel point ils ne sont pas à la hauteur ; les autres, qui feront juste assez de grimaces convenues (de « démarches ») pour qu’on leur fiche la paix. Bien sûr, il y aura, comme dans toute compétition, des gagnants et des perdants. Certains deviendront cadres, golden boys, managers, et accepteront les "responsabilités" qui placeront toute leur vie sous le signe de l'évaluation monétaire; et d'autres accepteront ou se feront imposer par Pôle Emploi des boulots de larbin qui, au contraire de les aider à monter dans l'échelle sociale, les maintiendront à vie dans ce triste rôle de main d'oeuvre précarisée, qu'il faudra encore mériter parce que d'autres-attendent-à-la-porte. D’autres, enfin, trouveront la « bonne planque » que tous les autres vont leur envier (Privilégiés de fonctionnaires ! etc…).

Ce qui importe au pouvoir par dessus tout, c'est de nous occuper, c'est de nous voler notre temps. Partout, il y a des « mauvais chômeurs » qui étudient, qui créent, qui animent des associations, qui se mêlent de politique, qui expérimentent d'autres manières de vivre, de travailler, d'enseigner sans exploiter ni les hommes ni la nature, de manière égalitaire et coopérative, des « mauvais chômeurs » pour qui le boulot signifie d’abord mettre de côté ses attachements. Des gens pour qui le salariat et le marché sont inséparables des catastrophes sociales et écologiques actuelles, et qui, autant que possible, préfèrent s'y soustraire. Ces gens-là, il faut pour le pouvoir les empêcher de travailler, parce que leur travail véhicule une manière de penser qui si elle se diffusait, donnerait confiance aux innombrables qui, parce qu'ils se sentent isolés, hésitent encore à entrer en conflit ouvert avec les institutions telles que Pôle Emploi, et se contentent d'esquiver leurs attaques.

Un mouvement de chômeurs et précaires n'est pas un mouvement corporatiste, pas même un mouvement des "exclus" ou de toute autre catégorie médiatico-sociologique. La crise a appris à ceux qui l'ignoraient encore que bien peu pouvaient se targuer d'une situation garantie, hormis les dirigeants des banques, des entreprises, des médias, des partis politiques et des syndicats institutionnels. Le chômeur, au fond, ce n'est pas tant le "privé d'emploi" que celui qui refuse, au sein de la firme globale qu'est cette société, d'être affecté à telle ou telle tâche selon les exigences du patronat, ou du gouvernement, ou du Pôle Emploi qui veut "faire du chiffre". La lutte des chômeurs intéresse directement celle des travailleurs. Refuser un job pourri ou un stage intensif de coaching, empêcher la radiation ou la suppression d’allocations n'est pas différent de refuser une augmentation des cadences, des licenciements ou des baisses de salaire.

Notre mot d'ordre est simple: grève des chômeurs. Faisons grève de notre supposée évidente condition de demandeurs d'emploi, d'auto-entrepreneurs. Assumons-nous comme des travailleurs produisant des relations humaines différentes, coopératives, non marchandes, alternatives au monde de l'entreprise. Nous savons aussi que notre travail, associatif, coopératif, écologique, le tissage de liens amicaux, les formes de solidarité sont d'ores et déjà exploitées par un nouveau capitalisme "vert" qui rêve de tirer un profit maximal de la réparation des désastres accumulés par le capitalisme industriel, et qui a besoin de puiser parmi les contestataires la manière plus "respectueuse" et "humaine" de nous faire travailler demain dans leurs bio-entreprises durables. La grève des chômeurs, c'est une grève de l'exploitation: non seulement nous ne voulons pas de leurs sales boulots, mais nous ne voulons pas qu'ils exploitent le nôtre, celui qui a pour nous du sens, pour faire survivre leur système en déroute.

La grève des chômeurs, cela signifie trois choses. Premièrement, s'organiser pour empêcher l'application des politiques gouvernementales de gestion du chômage et de la précarité, qui se traduiront notamment par la suppression de tout revenu aux chômeurs qui refuseront deux offres dites raisonnables ou la moindre "action" prescrite par le Pôle Emploi, ou encore rateront un rendez vous. Cela implique qu'à chaque problème « individuel » de dossier, il soit répondu promptement et efficacement par l'action collective, et non par d'interminables et le plus souvent inutiles recours. Deuxièmement, agir collectivement contre les voleurs de temps, les exploiteurs de l'attention que sont Pôle Emploi, mais également toutes les entreprises privées qui prospèrent de la saturation préméditée de ce dernier: il s'agit des boîtes d'intérim, de placement privé, de coaching et de consulting, des associations d'insertion, qui disposent également d'un pouvoir souverain sur les revenus des chômeurs. Troisièmement, affirmer une idée positive, politique du travail, par laquelle nous cherchons à nous organiser de manière égalitaire et coopérative pour accroître notre autonomie à l'égard du marché, en renforçant nos liens avec les travailleurs en lutte, tant à partir de la réappropriation commune de gestes de travail que de gestes politiques. (On mentionnera à ce sujet les ouvriers de Philips à Dreux qui viennent, face à la menace de fermeture de l'usine, de décider en assemblée générale de relancer la production en autogestion.)

Il n'y aura pas de mouvement en dehors d'une grève des chômeurs, d'une suspension de l'atomisation des situations individuelles, d'un désir partagé par le salarié ou le cadre licencié, l'étudiant-sans-débouché, le fatigué de l'intérim, l'ouvrier au chômage technique, le militant associatif, le demandeur d'asile, le cinéaste indépendant, le paysan non productiviste, de reprendre en main tout le temps volé par un système qui veut nous occuper à ravager les mondes sensibles comme à dessécher l'intelligence. Pas de plein emploi, merci; plutôt une pleine réappropriation de la vie.


Mouvement des Chômeurs et Précaires en Lutte de Rennes, 22, rue de Bellevue, 35700 Rennes, mcpl2008@gmail.com (pour tout problème de dossier, connaître les heures de réunion ou de permanence, écrivez-nous à cette adresse mail)

Rendez-vous :
MANIFESTATION SAMEDI 16 JANVIER 15 H PLACE DE LA MAIRIE pour la grève des chômeurs et le soutien aux inculpés de la manifestation du 5 décembre, suivie d’une ASSEMBLEE GENERALE

RASSEMBLEMENT LUNDI 18 JANVIER 15 H 30 CITE JUDICIAIRE, pour soutenir les inculpés à l’occasion de leur procès.

vendredi 8 janvier 2010

les chômeurs aussi ont droit à leur procès

manifestation samedi 16 janvier 15 h place de la mairie, pour la grève des chômeurs et le soutien aux 4 inculpés du 5 décembre
rassemblement lundi 18 janvier 15 h 30 devant la cité judiciaire, à l'occasion du procès.


La répression est en marche pour ceux qui pensent trop (et mal !)
Solidarité avec ceux qui luttent.


communiqué du collectif de soutien aux sans-papiers

Le vendredi 15 janvier 2010 à 9h30

le collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes

passe en procès devant la Cour d’appel de Rennes.


NOUVEL APPEL À SOLIDARITE ET À MOBILISATION !


En juin 2008, nous, collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes, avons appris par voie de presse qu’une plainte avait été déposée contre nous par le Ministère de l’Intérieur suite à la diffusion de 3 tracts et de 2 affiches. Ces écrits accompagnaient deux rassemblements contre la Police aux Frontières (PAF) le 2 avril 2008 [voir encadré pour le contexte de cette mobilisation].

Une bonne dizaine d’arguments utilisés et d’expressions employées ont été isolées pour nous accuser de propos diffamants et injurieux à l’encontre de la PAF. Durant l’enquête préliminaire, 8 personnes ont été auditionnées, dont 3 seulement avaient effectivement participé aux rassemblements du 2 avril. Plus grave : en dépit de notre présentation collective au commissariat, la police a refusé d’interroger la cinquantaine de personnes qui avaient participé à ces rassemblements. Elle a plutôt tenté de faire dénoncer quelques personnes parmi les autres.


En juin et juillet 2008, suite à un premier appel à solidarité et à mobilisation, le fond et la forme de l’enquête préliminaire avaient suscité bien des réactions publiques et médiatisées (individus, associations, avocat-e-s, élu-e-s, syndicats, partis…). En particulier, les pressions policières subies par la Maison Internationale de Rennes (MIR) – association indépendante qui héberge nos assemblées générales hebdomadaires – pour l’obliger à livrer les noms des « animateurs » du collectif avaient beaucoup choqué.


Fin juillet 2008, le Procureur de la République décide de faire comparaître trois membres de notre collectif, choisi-e-s et désigné-e-s arbitrairement, devant le Tribunal correctionnel de Rennes. Le procès a lieu le 12 décembre 2008.


Pour dénoncer le caractère arbitraire des poursuites, lors du procès, une bonne trentaine de personnes se présentent collectivement à l’audience en tant que comparant-e-s volontaires. Cette présentation collective n’est pas validée par le Juge. Cependant, celui-ci prononce la relaxe. Au nom de la liberté d’expression, nos écrits ne sont pas réprimés.

En effet, selon le Juge, si nos écrits « portent incontestablement atteinte à l’honneur ou à la considération de la police aux frontières », ils ne sont ni injurieux ni diffamatoires. D’abord, « la liberté d’expression […] vaut […] aussi pour [les idées et informations] qui heurtent, choquent ou inquiètent l’Etat […] ». Ensuite, « aucun agent de la police de l’air aux frontières n’est visé de façon nominative ». Enfin, et surtout, « le ton employé […] doit […] être replacé dans le contexte d’une lutte militante. Il est l’expression d’un langage partisan adopté par les militants de la cause de la défense des étrangers lors d’une manifestation publique, ce que ne peuvent ignorer les lecteurs de ces écrits, et ne dépasse pas les limites de la liberté d’expression […]. ».


Seulement voilà : le Procureur de la République a décidé de faire appel.

Autrement dit, les trois personnes du collectif comparaîtront à nouveau le vendredi 15 janvier à 9h30 à la Cour d’appel (Parlement de Bretagne). Nous avons décidé d’en profiter pour faire appel nous aussi au niveau de la procédure de comparution volontaire et nous nous présenterons à nouveau collectivement lors de l’audience.


Comme en 2008, nous souhaitons lancer un nouvel appel à solidarité et à mobilisation car nous pensons que, au-delà de la mise en cause du collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes, c’est une certaine forme de liberté d’expression et d’opinion contre la politique d’immigration qui est en jeu dans ce procès.


RASSEMBLEMENTS DE SOLIDARITÉ


MARDI 12 JANVIER à 17h30

A la gare, devant les locaux de la police aux frontières


VENDREDI 15 JANVIER à partir de 9h

devant le Parlement de Bretagne à Rennes



Depuis sa naissance en 2002, le collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes a été souvent sollicité par des personnes étrangères dénonçant les pratiques de la Police aux Frontières (PAF), ce service particulier de la police chargé de lutter contre l’immigration dite irrégulière. Ainsi, à de multiples reprises, de manière médiatisée ou non, notre collectif a jugé important de dénoncer les modes d’arrestations d’étranger-e-s à domicile, les interpellations devant les écoles des parents sans-papiers, le menottage systématique des étranger-e-s interpellé-e-s, les arrestations d’étranger-e-s aux guichets des préfectures ou devant les locaux associatifs, l’irruption de policiers dans les procédures de mariages mixtes… Les tracts et les affiches visés par la plainte dénonçaient à nouveau ces pratiques, comme le font des centaines d’organisations et de collectifs.


Mais, début 2008, notre collectif a été de plus en plus sollicité par des personnes étrangères, de nationalités diverses, se déclarant victimes de contrôles d’identité fondés sur la couleur de peau ou sur la langue utilisée, en particulier dans les gares ou le métro. Ces contrôles étaient aussi rapportés par des témoins. Dans la quasi-totalité des cas, les personnes contrôlées étaient considérées – dans notre société – comme des personnes « arabes » ou « noires ».


Nous pensons notamment à 7 élèves d’un lycée rennais revenant d’une sortie scolaire qui, le même jour en mars 2008, ont subi ces contrôles d’identité. Cet épisode – qui a débouché sur une interpellation et une tentative préfectorale d’éloignement du territoire – a constitué une goutte d’eau de trop dans l’océan des contrôles d’identité que beaucoup nomment « au faciès ».


C’est pourquoi notre collectif a décidé d’organiser, le 2 avril 2008, une action de dénonciation publique des pratiques de la PAF. Cette action a été annoncée et rendue visible par les 3 tracts et les 2 affiches visés par les poursuites du Procureur. Ces écrits, conformément aux principes de fonctionnement du collectif, avaient été élaborés et validés collectivement en assemblée générale.


Le ton humoristique et ironique, relativement habituel dans l’histoire de notre collectif, semble être au cœur du procès dont nous faisons l’objet. Tout en réaffirmant que notre collectif n’entend pas – comme toujours depuis 2002 – pointer du doigt les individus travaillant à la PAF mais les pratiques et l’existence même de ce « corps constitué de l’Etat », nous craignons que les formes de notre liberté d’expression et d’opinion contre les politiques d’immigration française soient le principal objet des poursuites du ministère de l’Intérieur. Et nous déplorons que ces formes de liberté soient davantage combattues, par le pouvoir actuel, que les effets de la « dérive sécuritaire » qui structure les pratiques policières.


Collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes

Assemblée générale ouverte à toutes et tous chaque mardi à 18 hs 30 à la MIR, 7 quai Chateaubriand

jeudi 24 septembre 2009

sans-pap de Calais

15 raflés des jungles de Calais sont arrivés dans la nuit au CRA de St Jacques.
Passeront au JLD demain. Certains sans doute dès le matin, d'autres l'après midi.

Rassemblement de protestation prévu demain
jeudi 24 septembre à 15h devant la cité judiciaire.

mercredi 1 juillet 2009

théatre : dario fo

Le Théâtre de l’Arrière Cour présente FAUT PAS PAYER, adaptation de la pièce de Dario FO.

Le Vendredi 3 Juillet 2009 - 20H - A Rennes (35)
Parc du Landry - dans le théâtre de verdure à proximité du collège Le Landry

Entrée : Gratuite
Renseignements au 02 99 53 12 83 - 06 31 71 10 72

Theatre de Verdure du Landry... pensez à amener un petit coussin...

Accès Handicapés - Spectacle Familial - Temps clément annoncé

Faut-il travailler plus... ou payer moins ? Une comédie loufoque sur l'augmentation du coût de la vie.

Dario FO évoque dans une pièce particulièrement drôle la crise sociale sans précédent que connut l’Italie au début des années 70. Le français du début du troisième millénaire y retrouve son quotidien comme dans un miroir : le prix de son loyer qui ne cesse d’augmenter, l’usine voisine qui délocalise, le prix prohibitif des denrées alimentaires... Spectacle tout public (1H35).

Avec le soutien de la Maison du Ronceray & de l'ADEC 35.
Site de l'association (renseignements, vidéos & photos) : http://arriere.cour.pagespro-orange.fr

Auteur : Dario FO
Mise en Scène : Isabelle Bouvrain, Jean-Christophe Paoletti
Acteurs : Chantal Sabin, Catherine Texier, Michel Villeneuve, Jean-Christophe Paoletti, Pascal Jarno
Régie: Geneviève Bourges

N'hésitez pas à nous contacter pour toute information,
A bientôt,

Jean-Christophe Paoletti